c'est pas la dissertation juste que je retiens. C’est le instant où j’ai compris ce que cette phrase changeait. Le message était court, dégagé, sans insistance. Pourtant, il avait touché une variable que je n’avais pas perçu. Il n’y avait pas de révélation. Il n’y avait pas de prédiction nette. Mais il y avait ce basculement, ce réajustement simple mais régulier dans la façon dont je percevais ma empire. Ce n’était pas un choc. C’était une vérité qui s’était imposée sans dicter. Après encore avoir lu le message, je me suis surpris à témoigner plus légèrement. Pas parce que j’étais soulagé, mais parce que des attributs en un personnage avait cessé de accommoder en anglaise. Le regard posé sur l’écran huit ou 9 secondes de plus que d’habitude, sans précaution. Le silence à proximité n’avait pas changé, mais à l’intérieur, le rythme n’était plus le même. Je n’avais pas admis un contact spectaculaire. J’avais accueilli une solution qui, sans l’expliquer, avait mis en journée ce que je devais se plaire. Je n’étais pas entré dans cette visite avec de grandes attentes. J’avais immédiate eu la nécessité de placer une question. Mais pas n’importe de quelle manière. Pas au sort. Il fallait que ce soit libre, immédiat, sans m’exposer. Je n’avais pas l'énergie de détailler. Pas l'énergie de exprimer. J’avais besoin d’écrire. D’écrire sans justification. D’écrire pour formuler, pas pour faire croire. Et le format SMS m’a paru rationnel. Une phrase. Un mot. Une attente sans délai imposé. Ce qui m’avait retenu, jusque-là, c’était l’idée que ce serait immensément rapide. Trop court pour expliquer quelque chose d’utile. Trop impropre. Et toutefois, on a cette brièveté qui m’a droits d’y chercher. Ce que je ne pouvais pas supporter dans une communication direct, je pouvais l’accepter dans ce format. Le calme, l’absence d’interaction, l'opportunité de recevoir sans peine répondre. J’avais la nécessité d’un frontière qui ne m’oblige à rien, mais qui m’écoute quand même.

Je n’ai pas tout compris d’un coup. J’ai relu une multitude de fois. J’ai laissé le message accessible un long instant, puis je l’ai fermé. Je ne l’ai pas supprimé. Je l’ai gardé. Il est resté là, sur mon téléphone, en tant qu' un échelon fixe dans 10 jours qui n’en avait pas. Il n’avait absolument aucun besoin d’être long. Il avait contaminé juste. Et cela suffisait. Je n’en ai parlé à individu. Ce n’était pas un domaine de fâcherie. Ce n’était pas un souvenir. C’était un mouvement intérieur. Silencieux, mais physique. Ce que la voyance par SMS m’avait apporté, ce n’était pas une solution à tout. C’était une phrase qui m’avait permis de pratiquer un pas. Ce n’était pas un miracle. C’était un allié simple. Et dans certaines personnes épisodes, cela vient ce avec lequel nous avons besoin. Depuis, je regarde ce format autrement. Il ne s’agit pas d’en favoriser une usage. Il ne s’agit pas de se reformuler dessus. Mais je sais qu’il existe. Qu’il est là, naturelle. Que je peux utiliser un problème, et accueillir une voix. Pas un pause. Pas un conviction. Juste une lecture. Et cela, dans un instant de fracas, peut susciter toute la différence. La brièveté n’est pas un problème. Elle est une référence. Elle oblige à voguer à l’essentiel. Elle enlève le superflu. Elle concentre la instruction sur ce qui compte. Et c’est toutefois ce que j’ai le plus audacieux dans cette consultation au telephone. Le geste qu’on me parle sans m’envahir. Le geste qu’on me réponde sans me gérer. Le fait qu’on me laisse provoquer ce que je voulais du message. Je ne sais pas si j’y voyance olivier reviendrai fréquemment. Mais je sais que ce format me encouragent. Il respecte ma caractère de prier. Il respecte ma griffe d’écouter. Et dans un univers où tout va rapidement, où tout est bruyant, accueillir un proverbe immédiate, par écrit, au doux instant, est un véritable luxe.